Prépa : pourquoi tu ne réussis PAS ?
Après avoir échangé avec plusieurs centaines de candidats, ceux ayant réussi et ceux ayant échoué l’examen d’entrée, ceux ayant suivi une prépa, voici LA raison pour laquelle tu ne réussis pas l’examen d’entrée de commissaire de justice.
Lis cet article avec attention, si tu réponds oui à au moins une de ces questions :
- Tu rêves de rentrer chez toi le soir pour VRAIMENT profiter avec ton / ta partenaire, rendre fiers tes proches, gagner 500 euros nets (MINIMUM !) de plus chaque mois, et ne PLUS avoir à réviser l’examen d’entrée ?
- Tu n’as pas envie de tout reprendre de zéro, pour présenter l’examen une nouvelle fois l’an prochain avec les futurs candidats sortant fraîchement de Master 2 ?
Je vais te dire une chose.
Tu as déjà réalisé le plus difficile : les révisions depuis des mois.
Alors continue de réviser, même si ton entourage pro est complètement démotivé (démotivant) ou démobilisé. Peut-être que tu as un entourage négatif ou pessimiste, et cela peut arriver : il ne faut pas leur en vouloir, car c’est juste qu’ils s’inquiètent pour nous.
Tu as du essayer les révisions en mode « bourrage de crâne » comme à la fac.
Il y a aussi la solitude qui pèse, le manque de repères, la fatigue, parfois l’envie d’abandonner.
Peut-être que tu as tout essayé et que tu as envie de baisser les bras, surtout que personne ne te tire vers le haut…
Si c’est le cas, sache que ce n’est pas de ta faute.
Il y a quelque chose qu’on ne nous dit pas.
Reste avec moi jusqu’au bout, parce que je vais t’expliquer comment faire enfin de la prochaine session celle de ta réussite à l’examen d’entrée.
Pourquoi aujourd’hui, c’est ton tremplin vers l’objectif professionnel de devenir commissaire de justice.
Parce qu’après, ce sera trop tard.
Il y a quelques temps, j’étais exactement comme toi.
Ça ne marchait pas.
Des personnes de mon entourage professionnel ne croyaient pas en moi ou, pire, me rabaissaient parce que je n’étais pas encore diplômée…
Et pourtant, j’avais suivi les règles du jeu : valider un Master 2, suivre les cours, faire des stages, faire mes fiches malgré des cours incomplets (parfois faux, pourtant donnés par le professeur !), apprendre vite, ne pas compter mes heures, rendre service sans limites… Et c’est ce qu’il faut faire, non ?
Mais le problème, c’est que le jeu est biaisé.
Il est très dur de réussir : selon les informations communiquée par la Chambre Nationale des Commissaires de Justice lors du colloque de La Rochelle, le taux de réussite de l’examen d’entrée dans la formation de commissaire de justice était autour de 10-11% (comparable à l’entrée à l’École Nationale de la Magistrature), voir moins…
Si on reprend les chiffres, il y a eu 31 candidats admis pour plus de 400 candidats…
Or, on ne nous prend pas au sérieux tant qu’on n’a pas décroché le précieux sésame.
Et c’est à ce moment-là que j’ai compris quelque chose.
J’ai compris qu’il fallait essayer différemment, j’ai compris qu’il y avait peut-être un raccourci.
J’ai compris que si certaines personnes y arrivaient (pas forcément des « rats de bibliothèque »), c’est que c’était possible.
J’ai d’abord essayé de réviser à plusieurs, c’était intéressant mais pas encore suffisant.
Puis j’ai recherché un mentor, une personne qui voudrait bien me guider. Mais j’ai constaté qu’une fois l’examen obtenu, les personnes prenaient un peu la grosse tête et oubliaient d’où elles venaient… donc elles acceptaient de m’aider, sans toutefois y consacrer plus que 5-10 minutes (ce que je comprends).
Puis j’ai tenté de réviser avec plusieurs candidats, mais pas n’importe lesquels… et devine quoi ?
Là il s’est passé quelque chose d’incroyable ! Ça a fonctionné.
Nous avons réussi notre examen !!!
C’est à ce moment que j’ai compris que si je n’avais pas eu les meilleures notes aux examens, aux devoirs, à l’étude, ce n’était PAS de ma faute.
C’était à cause de l’égoïsme ambiant, qu’on nous a inculqué dans le système scolaire et universitaire.
Et ce n’est pas étonnant que j’ai eu à ce point des difficultés.
Pendant des années, on m’a fait croire que seul le travail individuel assure la réussite.
On m’a dit qu’il fallait que je lise TOUT moi-même, que je fiche TOUT toute seule, que je me tienne informée seule… et je les ai crus. Pendant des années, on m’a menti, mais on t’a aussi menti à toi.
Le vrai problème, ce sont les valeurs du XIXème siècle (ère industrielle), qui ont peu évolué dans le système d’apprentissage. Ce sont elles qui nous empêchent d’évoluer en groupe, au profit du travail complètement individualisé comme à l’usine.
Une fois que j’ai réalisé la puissance du groupe et du cerveau collectif, comparée à nos cerveaux seuls, c’est là que j’ai vraiment commencé à avoir des résultats massifs RAPIDEMENT.
Coupler le cerveau collectif à l’aide d’un mentor très impliqué, tu obtiens des résultats EXPLOSIFS.
Par exemple, j’ai été « classée » 3ème clerc expert de France (formation proposée par l’Ecole Nationale de Procédure qui formait les clercs et les candidats à l’examen, avant la création de l’INCJ).
Puis j’ai réussi du premier coup le diplôme.
Et j’ai commencé à aider une, deux personnes (d’anciens collègues), puis des dizaines de personnes, en donnant ma méthode EXACTE pour réussir à leur tour…
Et cette méthode, j’aimerais te la donner aussi !
Par exemple Océane :
Par exemple Camille :
Par exemple Cécile :
Par exemple Manon, Margaux, Sacha, Carla, Zehra et d’autres membres du programme Bootcamp Réussite :
Et c’est pour cette raison que j’ai créé le Bootcamp Réussite Examen Entrée CDJ.
Ça m’a pris des mois de travail, de développement.
J’ai du rassembler de nombreuses informations et les actualiser.
J’ai fait appels à des experts dans leur domaine, j’ai passé du temps à la bibliothèque de la faculté de droit de Strasbourg, rue René Descartes.
J’ai testé plusieurs formules de révisions, une partie de ces formules a échoué.
Mais j’ai du faire ces expériences pour savoir ce qui marche.
Et grâce à cette solution, ce qui était très compliqué à faire est beaucoup plus facile et rapide maintenant.
Le Bootcamp est un accélérateur de succès et de résultats.
Parce que le Bootcamp est beaucoup plus rapide et efficace que les révisions traditionnelles, cela libère du temps de révisions (très pratique quand tu es en retard sur le planning).
Ainsi, tu peux t’accorder plus de pauses, profiter de ta famille pour repartir réviser l’esprit frais… Pourquoi ? Pour obtenir bien sûr la cerise sur le gâteau : c’est de décrocher toi aussi ton diplôme, de gagner enfin un salaire correct et d’avoir une perspective d’avenir.
Mais avant qu’on commence, laisse-moi te poser une question :
Est-ce que ça te dirait d’avoir accès à mon programme dès aujourd’hui ?
Et d’avoir enfin les résultats que tu mérites grâce à cette solution ?
Clique ici pour vérifier s’il reste des places !
Je te souhaite beaucoup de réussite pour la suite de ton parcours 🙂
Avec tout mon dévouement,
Claire